Il collectionne les œuvres d’art depuis de nombreuses années, prioritairement les tableaux. Il s’est monté une petite fortune avec ce métier, qui au début n’était qu’un passe-temps, puis une passion dévorante. Depuis plusieurs mois, il m’offre de m’associer à lui, de me rendre riche, de me faire prospérer comme il le dit si bien. Toujours, je refuse et il s’en étonne. ‘Je le fais,’ dit-il, ‘parce que tu es un ami de longue date. N’importe qui sauterait sur cette occasion unique de s’associer à un connaisseur comme moi.’ Il a raison, je le sais, il le sait. Par contre, je n’y vois pas d’intérêt.
Nous avons été élevés pratiquement ensemble. Il vivait à deux maisons de chez moi. Nos mères se côtoyaient régulièrement. Sa mère est ma seconde mère comme l’inverse est vrai pour lui aussi. Nous avons fréquenté les mêmes écoles, les mêmes amis, pratiqué les mêmes sports. Il est comme un frère jumeau. Une grande amitié fondée sur le respect et l’admiration mutuelles. Nos routes se sont toujours croisées par un étonnant hasard du destin. Décidémment, la nature est remplie d’humour.
Les œuvres d’art sont toute sa vie. Il les admire, les recherche, les vante, les vénère, les honore, les adore. Il ne comprend pas que je ne ressente pas les mêmes sensations que lui pour ces objets. Je lui ai expliqué souvent mon appréciation de la vie : mes œuvres d’art à moi, ce sont les femmes!
Ne sont-elles pas les plus belles créations de la nature? Lui dis-je. Quoi de plus beau qu’une belle femme nue, souriante, gentille et disponible. La douceur de la peau, la voix aiguë et légèrement musicale, la féminité, la capacité illimitée à l’amour, à faire plaisir, à soigner, à prendre soin. Leur souci du détail, de la perfection, de la séduction lascive, libidineuse et sensuelle, les cheveux fins, longs et tombants, la descente lisse et douce du cou, les épaules gracieuses, les seins aux galbes arrondis, les aréoles larges, foncées et invitantes, les mamelons avançant ou non, leurs hanches élargies, des cuisses musclées légèrement, des fesses excitantes qui se terminent par une entrée discrète, des mains et des pieds légers et harmonieux. Voilà mes tableaux à moi, voilà mes désirs, mes appétits, mes convoitises, mes collections, mon plaisir, mon ravissement et mon bonheur. Tout simplement et rien de plus.
‘Raconte-moi une seule aventure qui en vaille la peine et je te croirai,’ me dit-il. Et c’est ainsi que je lui raconte ma plus récente rencontre avec une enjôleuse, une ensorceleuse, une séductrice, une affriolante créature féminine. اa se passait il y a quelques jours seulement.
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Au petit matin, je me sens bien. J’ai décidé de rencontrer Fanny au salon 7e ciel.
Une jolie blonde attend dans le couloir et je lui dis bonjour. C’est Fanny. Après une douche d’usage, Fanny entre avec son sourire qui illumine la salle. Nous nous présentons.
Je lui offre de la déshabiller et elle accepte malgré son étonnement. En lui enlevant ses vêtements, j’en profite pour la caresser partout et elle semble apprécier malgré sa timidité. Une fois nue, je lui demande de la masser. Elle est de nouveau surprise, mais elle accepte. Elle est maintenant sur le ventre et je la masse doucement partout, laissant courir mes doigts sur toutes les parties de son corps. L’ondulation de ses fesses me confirme dans mon choix. Je l’embrasse légèrement dans le cou, je saisis sa petite main dans la mienne pendant que mon autre main exerce son habileté ailleurs. Elle roucoule et souris. Je lui demande de se retourner et le même manège se produit, mais sur une nouvelle orientation de son corps.
Nous sommes déjà à la mi-temps. Je lui demande de me masser maintenant. Un très bon massage selon mes goûts personnels. Lorsqu’elle passe devant moi, j’en profite pour la toucher, la caresser et elle rit. Je lui explique que lorsque j’ai une si belle femme devant mes yeux, il m’est difficile de me retenir. Elle rit à nouveau.
Fanny est une très jolie femme avec un beau corps. Son visage est magnifique, sa bouche invitante et elle possède des cheveux de chérubin, vous savez, les petits Cupidons de l’amour. Ses cheveux sont blonds, fins comme ceux des anges et légers comme le vent.
La finale : Je suis sur le dos. Elle est à mes côtés. Je souhaitais avoir son visage près du mien car cela m’excite terriblement. Elle tire sur la corne d’abondance, lentement, doucement, éternellement. Le plaisir intense monte en moi. Je la touche aux seins, au ventre, avec ma main gauche pendant que ma main droite caresse son cou.. Son visage est près du mien. Je regarde sa beauté et mon excitation devient intense. Je ne pourrai plus résister longtemps.
Une situation amusante se produit. Fanny m’avait dit qu’après, elle prendrait sa douche avec moi, mais que je devais faire attention pour ne pas mouiller ses cheveux. J’étais bien d’accord avec cette proposition.
Lorsque vient le moment de vérité, lorsque mon plaisir est à son comble, je lâche plusieurs salves consécutives en l’air, vers moi, vers le matelas, mais aussi vers Fanny. Un jet de mon précieux liquide, qu’elle me dira par la suite, s’est dirigé vers son visage, manquant de quelques centimètres seulement ses magnifiques cheveux. En continuant son ramonage, elle éclate de rire et pendant que je jouis fortement, je m’excuse comme un idiot en râlant et en riant. Une fois mon plaisir achevé, elle m’explique la situation et nous rions comme deux fous. Elle ne voulait pas d’eau sur ses cheveux et elle a presque reçu une giclée de liquide collant!
Nous prenons notre douche ensemble et nous rions encore un peu. Je la remercie pour tout en paroles, argent et tendres baisers sur la joue et je quitte.
Fanny est une belle femme, un peu timide, mais très généreuse et très gentille. Ce fut une belle expérience. ہ un moment donné, j’avais l’impression d’être avec une petite amie. Que la vie peut être parfois bonne et douce, surtout dans les bras d’une femme.
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C’est ainsi que mon histoire s’est passée. Mon ami n’est pas impressionné, ni ému. Il me fait à nouveau une offre d’association avec lui. Encore une fois, je réponds par la négative. Il est déçu, mais pas surpris. Lorsque nous nous quittons sans rancune, je me dis qu’il est bien que de tels êtres humains existent. Ces êtres qui parcourent la vie à collectionner des biens terrestres.
Pour les ignorants, les ignares, les illettrés et les incultes comme moi, il reste beaucoup plus de femmes disponibles!
Amant Romantique
Femmes de rêve, je vous aime.
Nous avons été élevés pratiquement ensemble. Il vivait à deux maisons de chez moi. Nos mères se côtoyaient régulièrement. Sa mère est ma seconde mère comme l’inverse est vrai pour lui aussi. Nous avons fréquenté les mêmes écoles, les mêmes amis, pratiqué les mêmes sports. Il est comme un frère jumeau. Une grande amitié fondée sur le respect et l’admiration mutuelles. Nos routes se sont toujours croisées par un étonnant hasard du destin. Décidémment, la nature est remplie d’humour.
Les œuvres d’art sont toute sa vie. Il les admire, les recherche, les vante, les vénère, les honore, les adore. Il ne comprend pas que je ne ressente pas les mêmes sensations que lui pour ces objets. Je lui ai expliqué souvent mon appréciation de la vie : mes œuvres d’art à moi, ce sont les femmes!
Ne sont-elles pas les plus belles créations de la nature? Lui dis-je. Quoi de plus beau qu’une belle femme nue, souriante, gentille et disponible. La douceur de la peau, la voix aiguë et légèrement musicale, la féminité, la capacité illimitée à l’amour, à faire plaisir, à soigner, à prendre soin. Leur souci du détail, de la perfection, de la séduction lascive, libidineuse et sensuelle, les cheveux fins, longs et tombants, la descente lisse et douce du cou, les épaules gracieuses, les seins aux galbes arrondis, les aréoles larges, foncées et invitantes, les mamelons avançant ou non, leurs hanches élargies, des cuisses musclées légèrement, des fesses excitantes qui se terminent par une entrée discrète, des mains et des pieds légers et harmonieux. Voilà mes tableaux à moi, voilà mes désirs, mes appétits, mes convoitises, mes collections, mon plaisir, mon ravissement et mon bonheur. Tout simplement et rien de plus.
‘Raconte-moi une seule aventure qui en vaille la peine et je te croirai,’ me dit-il. Et c’est ainsi que je lui raconte ma plus récente rencontre avec une enjôleuse, une ensorceleuse, une séductrice, une affriolante créature féminine. اa se passait il y a quelques jours seulement.
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Au petit matin, je me sens bien. J’ai décidé de rencontrer Fanny au salon 7e ciel.
Une jolie blonde attend dans le couloir et je lui dis bonjour. C’est Fanny. Après une douche d’usage, Fanny entre avec son sourire qui illumine la salle. Nous nous présentons.
Je lui offre de la déshabiller et elle accepte malgré son étonnement. En lui enlevant ses vêtements, j’en profite pour la caresser partout et elle semble apprécier malgré sa timidité. Une fois nue, je lui demande de la masser. Elle est de nouveau surprise, mais elle accepte. Elle est maintenant sur le ventre et je la masse doucement partout, laissant courir mes doigts sur toutes les parties de son corps. L’ondulation de ses fesses me confirme dans mon choix. Je l’embrasse légèrement dans le cou, je saisis sa petite main dans la mienne pendant que mon autre main exerce son habileté ailleurs. Elle roucoule et souris. Je lui demande de se retourner et le même manège se produit, mais sur une nouvelle orientation de son corps.
Nous sommes déjà à la mi-temps. Je lui demande de me masser maintenant. Un très bon massage selon mes goûts personnels. Lorsqu’elle passe devant moi, j’en profite pour la toucher, la caresser et elle rit. Je lui explique que lorsque j’ai une si belle femme devant mes yeux, il m’est difficile de me retenir. Elle rit à nouveau.
Fanny est une très jolie femme avec un beau corps. Son visage est magnifique, sa bouche invitante et elle possède des cheveux de chérubin, vous savez, les petits Cupidons de l’amour. Ses cheveux sont blonds, fins comme ceux des anges et légers comme le vent.
La finale : Je suis sur le dos. Elle est à mes côtés. Je souhaitais avoir son visage près du mien car cela m’excite terriblement. Elle tire sur la corne d’abondance, lentement, doucement, éternellement. Le plaisir intense monte en moi. Je la touche aux seins, au ventre, avec ma main gauche pendant que ma main droite caresse son cou.. Son visage est près du mien. Je regarde sa beauté et mon excitation devient intense. Je ne pourrai plus résister longtemps.
Une situation amusante se produit. Fanny m’avait dit qu’après, elle prendrait sa douche avec moi, mais que je devais faire attention pour ne pas mouiller ses cheveux. J’étais bien d’accord avec cette proposition.
Lorsque vient le moment de vérité, lorsque mon plaisir est à son comble, je lâche plusieurs salves consécutives en l’air, vers moi, vers le matelas, mais aussi vers Fanny. Un jet de mon précieux liquide, qu’elle me dira par la suite, s’est dirigé vers son visage, manquant de quelques centimètres seulement ses magnifiques cheveux. En continuant son ramonage, elle éclate de rire et pendant que je jouis fortement, je m’excuse comme un idiot en râlant et en riant. Une fois mon plaisir achevé, elle m’explique la situation et nous rions comme deux fous. Elle ne voulait pas d’eau sur ses cheveux et elle a presque reçu une giclée de liquide collant!
Nous prenons notre douche ensemble et nous rions encore un peu. Je la remercie pour tout en paroles, argent et tendres baisers sur la joue et je quitte.
Fanny est une belle femme, un peu timide, mais très généreuse et très gentille. Ce fut une belle expérience. ہ un moment donné, j’avais l’impression d’être avec une petite amie. Que la vie peut être parfois bonne et douce, surtout dans les bras d’une femme.
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C’est ainsi que mon histoire s’est passée. Mon ami n’est pas impressionné, ni ému. Il me fait à nouveau une offre d’association avec lui. Encore une fois, je réponds par la négative. Il est déçu, mais pas surpris. Lorsque nous nous quittons sans rancune, je me dis qu’il est bien que de tels êtres humains existent. Ces êtres qui parcourent la vie à collectionner des biens terrestres.
Pour les ignorants, les ignares, les illettrés et les incultes comme moi, il reste beaucoup plus de femmes disponibles!
Amant Romantique
Femmes de rêve, je vous aime.